Marisol TOURAINE a été interpellée à deux reprises, mercredi 24 octobre 2012, lors de la séance des Questions d’actualité au Gouvernement à l’Assemblée nationale.
Elle a répondu :
- à une question de M. Olivier VERAN, Député socialiste de l’Isère, sur l’aboutissement des négociations relatives aux dépassements d’honoraires ;
- à une question de Mme Paola ZANETTI, Députée socialiste de Moselle, au sujet du régime minier de Sécurité sociale.
+ 47 000 demandeurs d’emplois de plus soit 1,6% ! où allons nous ? dans le mur et il y en a pour quatre ans et demi, malheureusement !!! et à ce terme une immense surprise attend la France grâce à tous ces politicards depuis 1981 !
https://www.facebook.com/groups/NiBonnesNiNonnesNiPigeonnes/
Madame le Ministre, je vous invite à visiter cette page facebook, elle vous éclairera sur les difficultés que nous, soignants, nous rencontrons au quotidien. La colère gronde …
Cordialement,
Marianne, cadre de santé
Lettre ouverte d’un confrère ophtalmologiste secteur 2 :
Quelle tristesse, quel dommage… Je suis effondré de voir ces commentaires haineux et méprisants envers des professionnels de la santé, de votre santé. Effondré de voir que vous êtes les victimes directes et inconscientes du lobby des mutuelles, qui ne sont rien d’autres que des assurances privées, et qui vous laissent miroiter un avenir où la médecine sera gratuite… mais muselée, sans aucune liberté pour choisir vos soins car salariée par des organismes financiers à but plus que lucratif, et où vos cotisations auront remplacé (et largement dépassé) les fameux « dépassements d’honoraires ». Effondré de voir que mes concitoyens n’ont pas la curiosité de voir plus loin que le petit bout politisé , orienté et verrouillé de la lorgnette de la presse, qui préfère hypnotiser la population avec des « grands reportages » sur les vacances des stars et jongler avec les contre-vérités sur des sujets pourtant capitaux pour la santé de tous, plutôt que vous présenter objectivement le danger majeur et imminent que vous courrez.
Petites précisions et quelques réflexions :
- On dit que les dépassements d’honoraires sont responsables du déficit de la sécu : c’est faux, ils sont par définition non remboursés par l’assurance maladie, donc ne coûtent rien à la société
- On dit que la médecine française est chère : c’est archi-faux ! Allez sur le site de l’OCDE et comparez les rémunérations des médecins européens, le minimum est à 40 euros (50 en grèce !!).
- On dit que les dépassements d’honoraires sont un frein à l’accès aux soins de qualité. C’est faux, et quelle insulte aux médecins n’en prenant pas, sous-entendu qu’ils sont mauvais ! On nous dit que les médecins prenant des dépassements abusifs sont une ultra-minorité (seules 5 plaintes ayant abouti l’année dernière !!!), comment pourraient-ils être responsables du défaut de soins d’une population ? On nous fait un amalgame entre le prix de la santé et la démographie médicale (il faudra 3 mois pour avoir un rendez-vous en province avec certains spécialistes parce qu’il y en a peu, pas parce qu’ils sont chers…)
- Les « dépassements d’honoraires » n’existent pas. Comme l’avocat, le coiffeur, le plombier, un médecin demande des honoraires. Tout court. Sur ces honoraires, une partie est remboursée par la sécurité sociale. Scandaleusement mal ! Cela fait 25 ans que le « tarif sécu » n’a pas bougé ! Vous demandez aux médecins de ne pas prendre de compléments (nous préférons à « dépassement », terme qui a été vicieusement instauré pour le connoter négativement, du genre dessous de table…), je vous demanderai alors de prendre votre fiche de salaire de 1985, convertir en euros, et de vous demander si vous pourriez vivre aujourd’hui avec cette somme…
- Ces compléments d’honoraires ont été créés dans les années 80 justement pour pallier au fait que l’état savait qu’il ne pourrait pas suivre l’inflation, et pour permettre aux médecins de pouvoir acheter du matériel, engager des secrétaires et des aides opératoire, en gros faire qu’aujourd’hui la médecine française de ville puisse vivre et pratiquer dans de bonnes conditions (je reviendrai sur les médecins secteur 1, « sans dépassement », qui sont les plus touchés par notre système)
- Petit exemple concret : 1980 : baguette à 1 franc, 2012 : baguette à environ 1 euro. 1980 : consultation au tarif sécu chez un médecin : 150 francs, 2012 :…..23 euros (et non 150 euros si le tarif sécu avait suivi). Aucun changement. Est-ce normal d’imaginer qu’un médecin, après 10 à 15 ans d’études (donc commençant à gagner sa vie à 30 ans), soit payé pour avoir la vie des gens entre ses mains moins qu’une coupe de cheveux ou qu’une pose de vernis? Combien parmi les bien-pensants de la médecine gratuite achètent-ils des crèmes anti-rides notoirement inefficaces à 90 euros le pot ou trouvent normal de payer 60 euros un jeu vidéo ? 23 euros pour avoir votre santé, voire votre vie, entre les mains de votre médecin, qui travaille régulièrement plus de 70 heures par semaine, sacrifie souvent sa vie familiale et prend des responsabilités humaines étouffantes tous les jours. Cela permet à peine de payer ses charges. C’est la malédiction honteusement imposée aux médecins de secteur 1, obligés de voir les patients à tour de bras, souvent au mépris de leur propre santé, pour arriver à vivre décemment (eh oui, c’est normal qu’un citoyen travaillant plus de 70 heures par semaine avec des responsabilités gigantesques, cotisant lui-même pour la sécu, la retraite, la maladie, ses assurances, ses vacances, ses repas… soit bien payé, n’en déplaisent aux révolutionnaires nostalgiques de l’union soviétique, qu’ils aillent vivre en Corée du nord). Ne croyez-vous pas que ces médecins travailleraient dans de meilleures conditions (je n’ai pas dit mieux, car ils arrivent en plus à travailler parfaitement malgré cette rémunération indigne) si le tarif sécu était fortement réévalué ? Qu’ils auraient alors le loisir de prendre plus de temps à chaque consultation ?
- Donc bien entendu les honoraires ont augmenté depuis 30 ans, comme le salaire de tous les français, pas plus ! Mais le remboursement de la différence n’a pas évolué, cherchez l’erreur. Pensez-vous vraiment qu’on puisse imposer à un autre corps de métier (la SNCF par exemple…) de se voir payer comme en 1980 ? J’imagine la réaction des syndicats… Le plus frustrant pour nous, c’est que nos patients, c’est-à-dire vous, trouvent ça normal. Deuxième petit exemple : dans ma spécialité, je suis amené parfois à retirer l’œil d’un patient pour un cancer oculaire. Accessoirement, je lui sauve la vie…. Je passe deux heures à reconstruire par des greffes, des lambeaux, je raccroche les muscles, ce qui permet d’adapter une prothèse esthétique, de faire retrouver au patient une vie sociale et professionnelle normale (pour qu’il continue à cotiser et payer des impôts)… Comparé au prix d’un écran plasma, d’un Ipad, d’un peintre ou un plombier qui vient chez vous faire des travaux, d’une vidange ou d’une révision sur une voiture, combien pensez-vous que ce geste vaut ? ATTENTION : je parle ici de VALEUR du geste, et non de ce que le patient doit payer de sa poche au final ! Combien voudriez-vous HONORER votre chirurgien pour un tel acte (origine du mot honoraire) ? Je demande personnellement 1500 euros (sur lesquels une fois mes charges payées, ma retraite cotisée, etc.. il en reste à peine le quart). Beaucoup d’entre vous crient au scandale ? Je ne pense pas. Maintenant accrochez-vous bien. Ce geste est remboursé….. 160 euros par la sécurité sociale ! Où est le scandale ? La valeur de mon geste, ou le fait que la société estime que la vie du patient et de mon travail valent 160 euros ? Alors bien sûr, je demande 10 fois le tarif sécu, salaud de médecin ! Seulement à 160 euros, je ne paye même pas mon aide opératoire, je ne PEUX PAS opérer, même si on m’y oblige ! Et tout autant avec les 50% de « dépassements » au-delà duquel certains sondages (bien orientés) estiment que le tarif est « abusif »… Et cet exemple vaut pour toutes les interventions, pour toutes les spécialités. Trouvez-vous normal qu’un chirurgien soit payé 160 euros pour un tel geste ? C’est pourtant la réalité pour les médecins en secteur 1, et le serait si on l’imposait aux secteurs 2.
- Il n’existe cependant pas de médecine à deux vitesses en France pour le moment. Les praticiens appliquent tous le principe de tact et de mesure, et sont sanctionnés par le conseil de l’ordre en cas d’abus. Nous adaptons tous nos honoraires en fonction des moyens des patients en les réduisant si besoin, nous prenons les CMU, nous écoutons la détresse de nos concitoyens. Je n’ai jamais refusé d’opérer le patient ci-dessus pour des raisons financières, et ne me parlez pas de l’exemple de l’ami qui lui s’est vu refusé des soins, car ce genre d’exemple est bien entendu répréhensible, extrêmement rare, et ne doit pas jeter le discrédit sur toute une profession dont l’empathie est un des principales qualités… Et la loi du marché existe également en médecine, ainsi que la liberté de choisir son médecin (ce qui ne sera bientôt plus le cas avec ce que les mutuelles vous réservent, à savoir des centres dépendant de votre organisme complémentaire, où certes vous ne paierez rien, mais où vous serez suivis par des médecins salariés ayant perdu toute liberté d’exercice et de prescription) ! Il est tellement facile de crier au scandale parce que tel ou tel praticien prend des honoraires soi-disant astronomiques, tellement plus vendeur dans la presse, sans se dire que personne ne met le couteau sous la gorge des patients pour aller le voir… La plupart des praticiens sont également vacataires à l’hôpital, où ils peuvent opérer gratuitement leurs patients les plus démunis. Je travaille personnellement à l’hôpital une matinée par semaine (8h-15h la matinée….), où soit je consulte 25 à 30 patients, soit j’opère 5 ou 6 patients lourds, tout en formant (gratuitement car pas dans mes obligations) les internes, et cela payé….50 euros nets ! La matinée, si, si, pas l’acte… 7 euros de l’heure. Je le fais parce que j’en ai envie, pour rendre service à mes concitoyens, parce que comme la majorité de mes confrères je suis attaché à la médecine hospitalière et au service public. Alors qu’on ne vienne pas me dire que c’est l’argent qui me motive car, plein à un mois en ville, je pourrais aisément augmenter mes revenus en supprimant cette vacation et en la remplaçant par une consultation ou des opérations privées.
- Le problème des médecins en secteur 2 (autorisés à prendre des compléments d’honoraires libres), c’est que si on leur impose une limitation à deux fois le tarif sécu (qui se réduira très certainement par la suite),et en revalorisant symboliquement l’acte, ils ne pourront tout simplement plus travailler ! Ils vont donc massivement se déconventionner (c’est-à-dire sortir du système de tarif sécu), et ne pourrons plus prendre que des patients ayant les moyens de les régler, ainsi que d’arrêter leurs activités hospitalières pour compenser. De la même manière, sans liberté de prendre des honoraires décents, les médecins en secteur 1 seront également contraints de se déconventionner. Et là, nous serons en plein dans la médecine à deux vitesses. Mais certainement pas à cause des médecins, mais de la population qui aura cautionné cette perte, en continuant à les stigmatiser. Pour ceux qui continueraient à dire : « ça va, ils ne vont quand même pas se plaindre, vu ce qu’ils gagnent, ils ne vont pas nous faire pleurer », cela prouve qu’ils sont au mieux aveuglés par la désinformation, au pire qu’ils n’ont rien compris, mais une chose est sure : pleurer ils vont, lorsque leur système de santé sera privatisé comme aux Etats-Unis.
- Alors, me direz-vous, à qui profite le crime ? Posez-vous quelques questions simples : qui est censé vous rembourser ces « dépassements » d’honoraires, et qui fait des économies en ne les remboursant pas ? Qui vous fait payer des cotisations mensuelles élevées, en vous remboursant au final si peu (faites le calcul de ce que vous payez tous les ans et de ce que vous êtes remboursés en pratique) ? Qui fait traîner les remboursements en vous demandant systématiquement des pièces justificatives à n’en plus finir pour pouvoir faire travailler un peu plus votre argent ? Qui est la seule structure en France qui n’a pas à publier ses comptes (engagement réitéré par notre ministre et notre président, ce qui est plus pratique pour cacher des financements de partis politiques)? Qui est bénéficiaire de 8 milliards d’euros par an, pour 2,5 milliards de « dépassements » et qui donc en remboursant TOUT serait encore largement bénéficiaire ? Qui affecte 30% de son budget en « frais de gestion » (une société normale en affecte 7% maximum), pour vous inonder de publicités omniprésentes (comptez le nombre de publicité par jour pour des mutuelles), alors qu’elle ferait mieux de vous rembourser correctement ? Qui est un des plus gros propriétaires fonciers, en particulier viticole, en France ? Qui possède jusqu’à 600% de réserve de liquidité (15 % recommandée) ? Eh oui, les mutuelles, qui verrouillent les partis politiques de tous bords et l’ensemble des médias par les milliards qu’elles leur donnent en publicité, sont responsables de la dégradation du système de soins, en rabaissant les médecins, en piétinant la relation de confiance entre un médecin et son patient. Il y a quarante ans, le taux de mortalité était très nettement supérieur à aujourd’hui, et pourtant le respect et la confiance des patients et de la société envers leur médecin étaient immense. De nos jours, la médecine a fait des progrès gigantesques, et les médecins, qui soignent de mieux en mieux, sont trainés dans la boue par une ministre qui incite vicieusement la population à les dénigrer. Demandez-vous, et calculez, s’il ne vaudrait pas mieux résilier votre mutuelle, et mettre la somme que vous leur laissez sur un compte rémunéré à utiliser en cas de besoin, en sachant que l’hôpital est gratuit et compétent pour tous en cas de vrai coup dur.
Alors par pitié pour nous, pour vous, arrêtez de vous tromper de cible ! Informez-vous ! Venez sur le groupe Facebook Les Médecins Ne Sont Pas Des Pigeons (http://www.facebook.com/LesMedecinsNeSontPasDesPigeons) pour avoir des VRAIES sources objectives d’information, de vrais documents, épurés de l’idéologie du « salaud de médecin qui ne pense qu’au fric » qu’on essaye de vous faire avaler. Demandez à ce que l’acte médical soit revalorisé et que vous soyez mieux remboursés !
Le corps médical ne veut qu’une chose : que leurs patients soient totalement remboursés d’honoraires valorisés à hauteur de la qualité de leur geste et de leurs responsabilités, qu’ils soient généralistes, spécialistes, hospitaliers ou libéraux. Si demain les consultations sont toutes à 100 euros, mais remboursées au patient en totalité, où est le problème ? Que les mutuelles fassent leur travail ! Et pour ceux qui pensent encore que 100 euros, c’est trop cher payé dans l’absolu pour leur santé, je ne peux plus rien faire…. Mais qu’ils s’attendent très bientôt à être soignés par des médecins étrangers, car nous n’accepterons plus longtemps d’être considérés comme des crapules, alors que nous rendons service à la société.
Les médecins sont fatigués, usés, démoralisés de se battre pour votre santé face à des mutuelles et un pouvoir qui les dénigrent sans cesse, et surtout sans être soutenus par leur patients. Mais ils sont en colère. Très. Et vont bientôt le montrer. Nous aurons besoin de votre soutien car sans cela, la médecine telle que nous la connaissons va disparaitre. Et il sera trop tard.
Commencez à penser par vous-même ! Ouvrez les yeux ! Défendez vos médecins, ils sont là pour vous !
Toutes ces histoires de dépassements d’honoraires et autres concernant la situation des médecins ne sauraient éluder la question de la situation des malades; c’est quand même le plus important.
Les lois » informatique et liberté » nous donne le droit à rectification des données nous concernant et c’est pourquoi je me propose de le faire ici:
Il y a quelques années, je me suis rendu chez le médecin à Vire dans le Calvados car je souffre d’une sciatique m’entravant complètement la marche et la station debout prolongée. Le médecin m’a demandé d’aller faire des radios et un scanner. Je l’ai fait immédiatement, car ça allait à peu près à ce moment. Un médecin que je n’ai même pas vu a diagnostiqué ( à partir des images uniquement ) à tort que je souffrais d’arthrose lombaire dégénérative ( arthrose due au grand âge, alors que j’avais à peine plus de cinquante ans à l’époque: aujourd’hui j’en ai presque 56 et mon arthrose n’a pas évoluée ). Cette arthrose est due à plusieurs accidents que j’ai subi tout au long de ma vie, accidents que j’avais cru relativement bénins à l’époque.
Je ne sais pas pour quelle raison le milieu médical auquel j’ai eu affaire a décrété ( je cite ) qu’il n’y avait pas eu accident. Je n’ai rien pu leur dire comme s’ils ne voulaient pas admettre que ce soit possible. J’ai demandé au médecin, que j’ai déclaré à la Sécurité Sociale, un certificat médical, mais celui-ci a simplement voulu admettre que je ne pouvais manipuler de lourdes charges.
Mon dossier à La Maison Des Personnes Handicapées de Caen est donc corrompu de fausses affirmations, de manque de diagnostics précis, de déni de la part de la médecine…
Plus récemment, j’ai eu encore un accident. Une automobile m’a percuté le coude avec son rétroviseur droit alors que je poussais ma bicyclette sur la route, étant allé faire mes courses à 7 kilomètres de chez moi, c’est à dire au plus proche. Je suis resté plus d’une semaine sans pouvoir bouger mon bras. Je n’ai pas appelé les urgences car je crois que de toute évidence les médecins se sont d’ors et déjà trompés, n’est-ce pas?
(Et oui, j’ai du mal à marcher, mais je peux faire un peu de bicyclette…)
Hélas, j’ai aujourd’hui des séquelles de ce dernier accident. Pour couronner le tout, je viens de passer deux semaines affreuses pour un simple tour de reins, provoqué par un changement subtil de température, et puis voilà: cloué au lit sans pouvoir fermer l’oeil.
Et ces dans ces conditions que je viens de recevoir un avis défavorable de la part de la MDPH, concernant un retrait de dossier de demande d’Allocation d’Adulte Handicapé ( je ne suis considéré actuellement que comme travailleur handicapé bénéficiant du RSA, quoique je n’exerce aucune activité) , pour la raison d’une absence de certificat médical. Mais il est précisé, sur cette lettre qui émane de l’antenne de Vire et non de Caen, que ma demande ( que je n’ai jamais faite, puisque je n’ai jamais réexpédié le dossier de demande ) a été rejetée en commission. C’est le comble pour une demande que je n’ai jamais faite.
Par ailleurs, j’attirerai votre attention sur l’étrange décès d’un jeune homme de 26 ans, une heure après s’être rendu aux urgences de Vire, il y a quelques jours: de quoi dissuader le plus téméraire. J’ai fait observer il y a quelques années l’attitude étrange des urgences de Vire envers ma personne, auprès des services du Procureur de la République à Caen, pour absence de diagnostique… c’est le dentiste chez qui je m’étais rendu qui est responsable d’avoir appelé les pompiers et de m’avoir expédié aux urgences…
Il semblerait que tous se renvoient la balle, à savoir que cette affaire les ennuient énormément.