Lettre du docteur Arielle Salon au ministre de la santé.
http://www.valeursactuelles.com/parlons-vrai/parlons-vrai/lettre-ouverte-mme-marisol-touraine-ministre-de-sant%C3%A920121108.html
ça se passe de commentaires !!!
Pourquoi ne pas evoquer l unocam (association mutuelles et complementaires ) avec 25% de frais de gestion dont publicite MMA et cerise, sponsoring de competitions sportives sur catamarans ou d’encart dans les journaux. etc etc… alors que vous les avez convié aux negociations concernant en theorie les medeicns et l assurance maladie?
au total 8.000.000.000 d euros qui ne sont pas utilisés aux remboursements des soins !!!
Pourquoi ne pas dire que les tarifs conventionnés comme vous le savez devaient etre revalorisés lors de la siganture de la convention 2005 et ne l ont pas ete
Pourquoi ne pas dire que des propositions de loi arrivent au parlement afin de limiter l acces aux soins (ou au moins leur remboursement) aux patients si leur medecin n’est pas dans le reseau choisi par leur complementaire. Les criteres qui seront retenus par les compementaires ne seront absolument pas qualitatifs mais bien strictement financiers. Il s’agit il faut le dire d une perte de liberté en preparation pour les patients.
Oui nous avons le sentiment d etre sigmatisés car vous le savez pertinement et vous ne voulez pas entrer dans cette discussion avec nos concitoyens, c’est partial.
Plus fâcheux que l’impopularité du couple exécutif, le gouvernement est très majoritairement jugé inefficace (69%) et, dans de moindres proportions, injuste (55%).
Alors que le sujet du moment est l’industrie, les ouvriers sont 80% à juger le gouvernement inefficace et 63% à le trouver injuste.
Pour l’efficacité du gouvernement c’est raté mais, alors qu’il est annoncé plus de justice cela devient dramatique avec 55% à le trouver injuste. Cela prépare une magistrale « gamelle » dans peu de temps !!!!
Chère madame la Ministre,
permettez moi de vous narrer une anecdote, en l’an 1993, j’avais 37 ans, une chute de ski malencontreuse me fit croiser le chef de service orthopédique d’un grand hôpital savoyard,sa lecture des radios et sa grande compétence lui firent me donner conseil de rentre chez moi, de garder mon bras immobilisé 45 jours puis de consulter l’un de ses confrères pour me faire prescrire de la rééducation. Par prudence, je n’attendis pas si longtemps et me mis en quête d’un Médecin proche de chez moi, le hasard et les recommandations me firent rencontrer le Docteur P.M. qui fut fort étonné en découvrant les nouvelles radiographies, tête d’humérus en 9 morceaux et combinée à une fracture de l’os, il pris sur son jour de repos pour m’opérer en urgence.
20 ans plus tard, il me reste quelques douleurs mais mon bras est parfaitement remis, si j’avais suivi les conseil du premier Médecin, il aurait perdu toute fonctionnalité. Dans quelques mois, grâce à vous, une personne pourra rencontrer le même problème mais sa complémentaire santé lui imposera peut être de ne voir que le premier médecin, cet incapable.
Car vous soutenez un projet de loi présenté par vos amis députés qui va permettre aux mutuelles de sélectionner, sur des critères principalement financiers, le médecin qu’il devra voir. Grâce à cela, il sera peut être handicapé à vie. Vous prenez prétexte de mensonges grossiers affirmant que certains soins (dentaires) certaines fournitures (lunettes) ne sont pas accessibles aux plus démunis de nos concitoyens, c’est totalement faux car nombreux sont les professionnels sérieux qui offrent des solutions accessibles à tous et jouent leur rôle social lorsque c’est nécessaire au delà de ce qui leur est légalement imposé (CMU par exemple). C’est en réalité pour permettre aux mutuelles de maitriser la totalité de l’offre de santé, depuis le prélèvement des cotisations jusqu’à leur récupération via un réseau de soin qui, n’en doutons pas, finira par leur appartenir intégralement. Elles se seront généreusement gavées au passage.
Ce projet n’est pas nouveau, Monsieur Sarkosy voulait en faire bénéficier son frère. Au tour de votre gouvernement de le remettre sur le tapis et avec quel brio, quelle rapidité, proposition de loi le 16 Octobre, première lecture le 28 Novembre, c’est admirable. Il se peut toutefois que vous ayez été abusée, que les lobby financier vous aient trompés sous des présentations faussement généreuses, alors aidez nous, suivez le lien que je vous indique et rejoignez les milliers de Français qui ont décidés de lutter contre cette loi inique et liberticide. Merci
http://www.soinscoordonnes.eu/petition.php
Comme il est impossible de publier sur les diverses pages de madame Dumont, que ce qui suit est en rapport direct avec le sujet, je me permet d’utiliser votre page pour réagir:
communiqué de presse de Laurence Dumont, vice présidente de l’assemblée Nationale http://deputes.lessocialistes.fr/node/4055
Et ma réponse par mail car il est impossible de laisser des messages sur ses différentes pages:
Madame,
J’ai pris connaissance d’extrait de votre communiqué concernant la PPL296, vous y faites preuve soit d’ignorance soit de mauvaise foi, je reprends les citations de vos propos pour y répondre point par point.
« la négociation de tarifs ne constitue pas une entrave à l’installation ou une obligation de modifier les soins procurés. Cela évite que les tarifs soient ajustés par les professionnels sur les niveaux de remboursement et non le coût réel des prestations, créant ainsi, dans certains domaines, des situations de rente ».
Déjà faudrait il que le terme « négociation » soit respecté, les exemples passés, Santéclair, Carte Blanche, MGEN nous montrent que ces négociation sont de fait des tarifs imposés de manière dictatoriales par les réseaux sans aucune prise en compte réaliste des coûts réels. D’autres, soit disant ouverts, laissent au professionnel le choix de la corde avec laquelle il aura droit de se pendre, et s’ils ne la jugent pas assez courte, il lui refusent l’accès au réseau sous des prétextes fumeux, Kalivia, Groupama nous l’ont démontrés.
D’autre part, dans le domaine de l’optique lunetterie, l’un des plus attaqués par ces réseaux, la hauteur des remboursement de la majorité des contrats sont inférieurs au niveau tarifaire des produits souhaités par les clients, ce qui à donc déjà comme effet, non pas de majorer les propositions mais bien au contraire de les minorer dans de nombreux cas, d’autre part, les prestations délivrées par les OCAM résultent de contrats privés entre elles et leurs adhérents, il est donc tout à fait logique que ces derniers soient enclins à souhaiter bénéficier au mieux des promesses qui leurs ont été faites.
L’optique lunetterie n’est plus, depuis des décennies, un domaine purement médical, c’est désormais un domaine ou l’esthétique, la mode, l’envie sont aussi présents que le besoin d’équipement. C’est aussi cet aspect qui à permit l’acceptation par la majorité des porteurs de ce qui était considéré par le passé comme une prothèse rejetée.
Réduire le coût d’un équipement optique à la seule valeur matérielle des montures et des deux verres (séparés pourquoi pas) est incohérent.
Toutefois il est réel que le prix normal d’un bon équipement optique n’est pas accessible à tous, c’est pourquoi presque tous les professionnels proposent des offres forfaitaires à tarifs réduits, sur des offres basiques mais correspondant aux critères définis par la CMU, d’autres, pour renforcer leur pouvoir de concurrence vont même jusqu’à à faire des offres à tarifs inférieurs. Il est clair que ces tarifs ne permettent pas de couvrir les frais réels qu’ils génèrent (moyenne passée de plus de 2 heures pour chaque client en optique) mais répondent à une démarche sociale. Honnêtement, qui ne peut mettre de côté 60€ pour s’équiper en lunettes ?
« La prestation versée au patient qui ne recourt pas au réseau de soins n’est pas diminuée. Elle est simplement supérieure lorsque l’adhérent a recours à un professionnel conventionné ».
Comme en de beaux termes la chose est dite, au pôle nord il ne fait pas plus froid qu’à Marrakech, c’est seulement qu’à Marrakech il fait plus chaud qu’au pôle Nord, Madame, avez vous à ce point le goût du bon mot que vous ne puissiez vous empêcher de plaisanter sur un sujet aussi grave?
« qu’ouvrir aux mutuelles une possibilité que les assurances privées ont déjà sans que cela n’émeuve personne »
Bien au contraire, cela émeut toute personne qui se penche tant soit peu sur le problème, car, les mutuelles possèdent déjà à travers les centres et boutiques mutualistes leur propre réseau de fournisseurs, prestataires, cliniques etc, qu’elles gèrent déjà dans les plus strictes méthodes Tayloristes ou Stakanovistes au choix, de tels projets de loi sont les portes ouvertes vers un système de soins captif, au mains d’administratifs n’ayant plus aucun point commun avec les idéologues mutualistes de l’origine.
« La médecine à deux vitesses, c’est de laisser prospérer les inégalités actuelles qui laissent la moitié des dépenses de santé courantes à la charge des assurés et qui créent d’immenses déserts médicaux. Notre proposition n’a qu’un but : y mettre fin ».
La médecine à deux vitesses, c’est d’imposer un standard accessible si bas et peu qualitatif, avec une forme d’opposabilité, que celui qui ne l’accepte pas doit assumer beaucoup plus que les autres et sortir du système. C’est ce qui se passe en Angleterre par exemple, je doute que les Français aspirent à une telle évolution.
En espérant que ces quelques remarques vous ramènent au respect de la vérité lors de vos futures interventions. Respectueusement vôtre.
8h30 - Petit-déjeuner avec Valérie TRIERWEILER et Jacques DANIEL, Président de l’association Trisomie 21 France
11h00 - Comité Technique Ministériel en présence de Valérie FOURNEYRON, Ministre des Sports, de la Jeunesse, de l’Education populaire et de la Vie associative
20h00 - 2ème édition du Trophée Signatures santé pour la remise du Grand Prix du Jury
Ayez confiance.
Je suis la Sinistre de la Santé !
Lettre du docteur Arielle Salon au ministre de la santé.
http://www.valeursactuelles.com/parlons-vrai/parlons-vrai/lettre-ouverte-mme-marisol-touraine-ministre-de-sant%C3%A920121108.html
ça se passe de commentaires !!!
madame touraine ,
Pourquoi ne pas evoquer l unocam (association mutuelles et complementaires ) avec 25% de frais de gestion dont publicite MMA et cerise, sponsoring de competitions sportives sur catamarans ou d’encart dans les journaux. etc etc… alors que vous les avez convié aux negociations concernant en theorie les medeicns et l assurance maladie?
au total 8.000.000.000 d euros qui ne sont pas utilisés aux remboursements des soins !!!
Pourquoi ne pas dire que les tarifs conventionnés comme vous le savez devaient etre revalorisés lors de la siganture de la convention 2005 et ne l ont pas ete
Pourquoi ne pas dire que des propositions de loi arrivent au parlement afin de limiter l acces aux soins (ou au moins leur remboursement) aux patients si leur medecin n’est pas dans le reseau choisi par leur complementaire. Les criteres qui seront retenus par les compementaires ne seront absolument pas qualitatifs mais bien strictement financiers. Il s’agit il faut le dire d une perte de liberté en preparation pour les patients.
Oui nous avons le sentiment d etre sigmatisés car vous le savez pertinement et vous ne voulez pas entrer dans cette discussion avec nos concitoyens, c’est partial.
Dr F Michel
Plus fâcheux que l’impopularité du couple exécutif, le gouvernement est très majoritairement jugé inefficace (69%) et, dans de moindres proportions, injuste (55%).
Alors que le sujet du moment est l’industrie, les ouvriers sont 80% à juger le gouvernement inefficace et 63% à le trouver injuste.
Pour l’efficacité du gouvernement c’est raté mais, alors qu’il est annoncé plus de justice cela devient dramatique avec 55% à le trouver injuste. Cela prépare une magistrale « gamelle » dans peu de temps !!!!
Chère madame la Ministre,
permettez moi de vous narrer une anecdote, en l’an 1993, j’avais 37 ans, une chute de ski malencontreuse me fit croiser le chef de service orthopédique d’un grand hôpital savoyard,sa lecture des radios et sa grande compétence lui firent me donner conseil de rentre chez moi, de garder mon bras immobilisé 45 jours puis de consulter l’un de ses confrères pour me faire prescrire de la rééducation. Par prudence, je n’attendis pas si longtemps et me mis en quête d’un Médecin proche de chez moi, le hasard et les recommandations me firent rencontrer le Docteur P.M. qui fut fort étonné en découvrant les nouvelles radiographies, tête d’humérus en 9 morceaux et combinée à une fracture de l’os, il pris sur son jour de repos pour m’opérer en urgence.
20 ans plus tard, il me reste quelques douleurs mais mon bras est parfaitement remis, si j’avais suivi les conseil du premier Médecin, il aurait perdu toute fonctionnalité. Dans quelques mois, grâce à vous, une personne pourra rencontrer le même problème mais sa complémentaire santé lui imposera peut être de ne voir que le premier médecin, cet incapable.
Car vous soutenez un projet de loi présenté par vos amis députés qui va permettre aux mutuelles de sélectionner, sur des critères principalement financiers, le médecin qu’il devra voir. Grâce à cela, il sera peut être handicapé à vie. Vous prenez prétexte de mensonges grossiers affirmant que certains soins (dentaires) certaines fournitures (lunettes) ne sont pas accessibles aux plus démunis de nos concitoyens, c’est totalement faux car nombreux sont les professionnels sérieux qui offrent des solutions accessibles à tous et jouent leur rôle social lorsque c’est nécessaire au delà de ce qui leur est légalement imposé (CMU par exemple). C’est en réalité pour permettre aux mutuelles de maitriser la totalité de l’offre de santé, depuis le prélèvement des cotisations jusqu’à leur récupération via un réseau de soin qui, n’en doutons pas, finira par leur appartenir intégralement. Elles se seront généreusement gavées au passage.
Ce projet n’est pas nouveau, Monsieur Sarkosy voulait en faire bénéficier son frère. Au tour de votre gouvernement de le remettre sur le tapis et avec quel brio, quelle rapidité, proposition de loi le 16 Octobre, première lecture le 28 Novembre, c’est admirable. Il se peut toutefois que vous ayez été abusée, que les lobby financier vous aient trompés sous des présentations faussement généreuses, alors aidez nous, suivez le lien que je vous indique et rejoignez les milliers de Français qui ont décidés de lutter contre cette loi inique et liberticide. Merci
http://www.soinscoordonnes.eu/petition.php
Comme il est impossible de publier sur les diverses pages de madame Dumont, que ce qui suit est en rapport direct avec le sujet, je me permet d’utiliser votre page pour réagir:
communiqué de presse de Laurence Dumont, vice présidente de l’assemblée Nationale http://deputes.lessocialistes.fr/node/4055
Et ma réponse par mail car il est impossible de laisser des messages sur ses différentes pages:
Madame,
J’ai pris connaissance d’extrait de votre communiqué concernant la PPL296, vous y faites preuve soit d’ignorance soit de mauvaise foi, je reprends les citations de vos propos pour y répondre point par point.
« la négociation de tarifs ne constitue pas une entrave à l’installation ou une obligation de modifier les soins procurés. Cela évite que les tarifs soient ajustés par les professionnels sur les niveaux de remboursement et non le coût réel des prestations, créant ainsi, dans certains domaines, des situations de rente ».
Déjà faudrait il que le terme « négociation » soit respecté, les exemples passés, Santéclair, Carte Blanche, MGEN nous montrent que ces négociation sont de fait des tarifs imposés de manière dictatoriales par les réseaux sans aucune prise en compte réaliste des coûts réels. D’autres, soit disant ouverts, laissent au professionnel le choix de la corde avec laquelle il aura droit de se pendre, et s’ils ne la jugent pas assez courte, il lui refusent l’accès au réseau sous des prétextes fumeux, Kalivia, Groupama nous l’ont démontrés.
D’autre part, dans le domaine de l’optique lunetterie, l’un des plus attaqués par ces réseaux, la hauteur des remboursement de la majorité des contrats sont inférieurs au niveau tarifaire des produits souhaités par les clients, ce qui à donc déjà comme effet, non pas de majorer les propositions mais bien au contraire de les minorer dans de nombreux cas, d’autre part, les prestations délivrées par les OCAM résultent de contrats privés entre elles et leurs adhérents, il est donc tout à fait logique que ces derniers soient enclins à souhaiter bénéficier au mieux des promesses qui leurs ont été faites.
L’optique lunetterie n’est plus, depuis des décennies, un domaine purement médical, c’est désormais un domaine ou l’esthétique, la mode, l’envie sont aussi présents que le besoin d’équipement. C’est aussi cet aspect qui à permit l’acceptation par la majorité des porteurs de ce qui était considéré par le passé comme une prothèse rejetée.
Réduire le coût d’un équipement optique à la seule valeur matérielle des montures et des deux verres (séparés pourquoi pas) est incohérent.
Toutefois il est réel que le prix normal d’un bon équipement optique n’est pas accessible à tous, c’est pourquoi presque tous les professionnels proposent des offres forfaitaires à tarifs réduits, sur des offres basiques mais correspondant aux critères définis par la CMU, d’autres, pour renforcer leur pouvoir de concurrence vont même jusqu’à à faire des offres à tarifs inférieurs. Il est clair que ces tarifs ne permettent pas de couvrir les frais réels qu’ils génèrent (moyenne passée de plus de 2 heures pour chaque client en optique) mais répondent à une démarche sociale. Honnêtement, qui ne peut mettre de côté 60€ pour s’équiper en lunettes ?
« La prestation versée au patient qui ne recourt pas au réseau de soins n’est pas diminuée. Elle est simplement supérieure lorsque l’adhérent a recours à un professionnel conventionné ».
Comme en de beaux termes la chose est dite, au pôle nord il ne fait pas plus froid qu’à Marrakech, c’est seulement qu’à Marrakech il fait plus chaud qu’au pôle Nord, Madame, avez vous à ce point le goût du bon mot que vous ne puissiez vous empêcher de plaisanter sur un sujet aussi grave?
« qu’ouvrir aux mutuelles une possibilité que les assurances privées ont déjà sans que cela n’émeuve personne »
Bien au contraire, cela émeut toute personne qui se penche tant soit peu sur le problème, car, les mutuelles possèdent déjà à travers les centres et boutiques mutualistes leur propre réseau de fournisseurs, prestataires, cliniques etc, qu’elles gèrent déjà dans les plus strictes méthodes Tayloristes ou Stakanovistes au choix, de tels projets de loi sont les portes ouvertes vers un système de soins captif, au mains d’administratifs n’ayant plus aucun point commun avec les idéologues mutualistes de l’origine.
« La médecine à deux vitesses, c’est de laisser prospérer les inégalités actuelles qui laissent la moitié des dépenses de santé courantes à la charge des assurés et qui créent d’immenses déserts médicaux. Notre proposition n’a qu’un but : y mettre fin ».
La médecine à deux vitesses, c’est d’imposer un standard accessible si bas et peu qualitatif, avec une forme d’opposabilité, que celui qui ne l’accepte pas doit assumer beaucoup plus que les autres et sortir du système. C’est ce qui se passe en Angleterre par exemple, je doute que les Français aspirent à une telle évolution.
En espérant que ces quelques remarques vous ramènent au respect de la vérité lors de vos futures interventions. Respectueusement vôtre.
Philippe Levasseur, Opticien indépendant.