Marisol TOURAINE a été interpellée sur la réforme des retraites, mardi 9 juillet 2013, lors de la séance des Questions d’actualité au Gouvernement à l’Assemblée nationale.
Elle a répondu à une question de M. Patrice CARVALHO, Député GDR de l’Oise.
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Plus 5%, pas pour la cote de popularité du président mais pour la facture d’électricité cette année et 5% pour la facture en 2014 ce qui fera l’an prochain 10.25% par rapport à 2012, il faut avoir fait l’ENA pour trouver cette astuce. Quand au président pour lui il faut lire moins 3 points au dernier sondage … va-t-il passer en dessous de zéro ? possible à cette vitesse de chute !!!
Toujours des questions écritent sur les sénoirs en fin de carrière qui sont dans la pauvretée les ministres ne daignent a répondrent !!
on verras comme a promis la ministre de la santé et social (réponse de AER sur ce site) que sa ce résoudras a la réforme des retraites!!
ET pensez a tous les travailleurs qui sont reconnuent handicapé 58 59 ans devrais avoir la retraite d’office a 60 ans dès qu’ils ont leurs trimestres 166 trimestres cotisé ou validés )qui sont au chomage et resterons jusqu’a 62 ans avec leur handicap
Question N° : 31438 de Mme Chantal Guittet ( Socialiste, républicain et citoyen – Finistère ) Question écrite
Ministère interrogé > Travail, emploi, formation professionnelle et dialogue social Ministère attributaire > Travail, emploi, formation professionnelle et dialogue social
Rubrique > chômage : indemnisation Tête d’analyse > allocation transitoire de solidarité Analyse > champ d’application
Question publiée au JO le : 09/07/2013 page : 7142
Texte de la question
Mme Chantal Guittet interroge M. le ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social sur le dispositif de d’allocation transitoire de solidarité (ATS). La loi du 10 novembre 2010 portant réforme des retraites et reculant l’âge légal de départ à la retraite a créé pour certains demandeurs d’emploi âgés un défaut d’allocation imprévu entre la fin de leur période d’indemnisation chômage et la date de liquidation de leurs droits à la retraite. La mise en place, depuis le 1er mars 2013, de l’allocation transitoire de solidarité a résolu les difficultés d’une partie de ces demandeurs d’emploi. Toutefois, les conditions très restrictives d’accès à ce dispositif excluent un grand nombre de personnes. Ainsi, ne bénéficient pas de ce dispositif les demandeurs d’emploi en fin de droits et dispensés de recherche d’emploi qui ne justifient pas du nombre de trimestres requis pour avoir droit à une retraite à taux plein, souvent parce que ne sont pas prises en compte l’intégralité des périodes de chômage ou de congés maternité dans le calcul des trimestres cotisés. Sont également exclus du dispositif la majorité des demandeurs d’emploi dont le conjoint ou la compagne exerce une activité salariée. Cette situation injuste plonge plusieurs milliers de chômeurs âgés en fin de droits, sans aucune ressource, dans une très grande précarité. Dans le cadre des négociations prochaines sur l’avenir du système des retraites, elle lui demande si le Gouvernement entend remédier à ces situations particulières et permettre le versement d’un véritable revenu de remplacement pour les personnes concernées.
Texte de la réponse
Les 500 premières fortunes de France ne connaissent pas la crise et ont même vu leur richesse globale augmenter de près d’un quart en un an, rapporte l’hebdomadaire Challenges à paraître jeudi. Son montant s’établit à 330 milliards d’euros et n’a jamais été aussi élevé depuis 1996, année où Challenges a lancé le classement des « 500 ».
Il a quadruplé en une décennie et représente 16% du produit intérieur brut du pays. Il compte aussi pour 10% du patrimoine financier des Français, « soit un dixième de la richesse entre les mains d’un 100 millième de la population », affirme Challenges. Ce groupe de 500 compte 55 milliardaires, 10 de plus que l’année dernière, précise l’hebdomadaire !!!
Les millions de pauvres se sont appauvris et le gouvernement les taxe tous les jours un peu plus.
Chers bacheliers, vous avez brillamment obtenu votre bac avec mention très bien, vous pensiez que vos parents aux revenus modestes seraient aidés financièrement pour la suite de vos études et ce grâce à la bourse au mérite … RATE !!! le gouvernement de gauche a décidé sa suppression au mois de juin et a fait connaître cette décision aux Crous au lendemain des résultats du bac semble-t-il, bravo de nouveaux électeurs pour l’abstention, le vote blanc ou vers les extrêmes.
voir la NR du 11 juillet 2013
suite aux passage a la retraite a 60 ans et 166 trimestres carrières longue au moi de novembre 2012,depuis les personnes qui ont étés mis par leurs employeur sur la touche, sous forme de licenciements, avec une rupture de contrat conventionnelle et se trouve actuellement au chômage qui ont 58 et 59 ans. ne trouvant plus de travail pour les seniors, la reforme des retraites 2013 vas telle les pénalise d’avantage avec l’allongement des cotisations des trimestres. seront il obligé d’attendre 62 ans pour partir a la retraite et avec une perte de 3%par trimestres manquant.si vous pouvez nous aiguillé pour toutes les personnes concerné merci d’avance
Réforme des retraites : le malaise grandit à EELV
Photo Joël Saget/AFP
Ce ne sont pour l’instant que des initiatives isolées, venant de la gauche du parti. Mais elles pourraient rapidement diffuser. Ces derniers jours, plusieurs écologistes ont pris position contre la réforme des retraites telle que l’envisage le gouvernement à la rentrée. Alain Lipietz, ancien député européen, Karima Delli, députée européenne, et Jérôme Gleizes, membre du bureau exécutif d’EELV, ont ainsi signé la pétition lancée, mercredi 10 juillet, par Attac et la fondation Copernic et intitulée « Ensemble, défendons nos retraites ».
« Nous ne pouvons accepter la paupérisation programmée des futurs retraités, la destruction des solidarités sociales, l’idéologie absurde du ‘travailler toujours plus’ dans une société productiviste inégalitaire. Cet engrenage favorise l’extrême droite et menace à terme la démocratie », affirment les signataires, parmi lesquels on retrouve également Pierre Laurent (PCF), Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche), Gérard Filoche (PS), Philippe Poutou (NPA), des syndicalistes (FSU, CGT, UNEF) ou encore des économistes et sociologues.
Débats
« Par rapport au mouvement [EELV], ce serait une erreur de ne pas y être associé », estime M. Gleizes. Jean-Vincent Placé, président du groupe écologiste au Sénat, envisage aussi de signer cette pétition. Jeudi, c’est le député Noël Mamère qui s’exprimait dans une tribune collective publiée dans Libération et intitulée « Retraites : la bourse ou la vie ? ». En interne, le sujet n’a pas encore été tranché mais il ne manquera pas de faire débat à la rentrée. Et pourrait entraîner de nouvelles tensions avec le gouvernement.
En 2010, le parti écologiste avait manifesté, aux côtés des socialistes et du Front de gauche, contre la réforme Fillon qui prévoyait de reculer l’âge légal de départ à la retraite de 60 à 62 ans. « On ne peut pas, quand on est dans l’opposition, critiquer la réforme Fillon et la mettre en application quand on est au gouvernement », s’agace Mme Delli. Cette dernière veut donc envoyer un « signal d’alerte ». Si elle se dit favorable à une réforme des retraites, pour elle, il n’y a aucune urgence à la faire aussi vite – le gouvernement veut la boucler d’ici à la fin de l’année. Pour M. Mamère, une nouvelle réforme « n’est pas forcément le plus nécessaire ni le plus urgent ». « Si cette réforme ne nous convient pas, je voterai contre, prévient le député de la Gironde. Je me garde toute liberté de vote. »
« Ligne rouge »
En cause notamment, la piste envisagée par le gouvernement d’allonger la durée de cotisation, actuellement à 41,5 ans. Pour M. Gleizes, c’est même « la ligne rouge ». A plusieurs reprises, Pascal Durand a lui-même dénoncé « une solution simpliste » et critiqué « une réforme d’épicier ». Mais certains, à EELV, aimeraient que leur secrétaire national prenne plus clairement position. « En vérité, il est plutôt proche des positions de la CFDT mais comme il connaît l’avis majoritaire du parti, il se planque, tacle un cadre du parti. Le problème, c’est que ça commence à se voir. »
Pour les écologistes, les questions de pénibilité, d’égalité hommes-femmes, des petites pensions mais aussi du temps de travail doivent être au cœur du sujet. Sur la question du financement, M. Placé, lui, se retrouve dans les propositions défendues par l’aile gauche du PS (lien abonnés). « Il faudra affiner par rapport à la CSG, la fiscalité du capital, les cotisations patronales ou encore la taxation plus accrue des retraités les plus aisés », explique le sénateur de l’Essonne.
Dans la foulée de la pétition d’Attac, réunions d’informations et meetings unitaires sont prévus. « Ça part comme en 2010, tous les comités locaux de l’époque se réactivent, se réjouit M. Gleizes. Les gens préparent le 10 septembre. » A cette date, la CGT, FO, la FSU et Solidaires appellent à manifester. Ce qui étonne Yannick Jadot, député européen, même si ce dernier considère que le débat a été mal engagé. « Je suis surpris d’entendre, y compris à gauche, des appels à manifester avant même que des propositions soient sur la table, juge ce proche de Daniel Cohn-Bendit. C’est ridicule. » M. Gleizes n’en a cure. Pour lui, « c’est une bataille qui peut être gagnée ». C’est décidé, le 10 septembre, il sera dans la rue, même sans l’aval de son parti. « Le devoir de réserve, c’est terminé », lâche-t-il.
Et de penser a ces sénoirs au chomages vivant avec 470euros a un age 58 59 ans 60ans après une carrière!!